Archive for avril, 2007

Concept “soirée pyjama”

Voilà une chaîne trouvée chez Céline, une chaîne parfaite pour les bloglouzeurs tels que moi à qui personne n’envoie jamais de chaîne, puisque les destinataires se choisissent eux-mêmes :grin:

Donc, le but du jeu est de se signaler dans les commentaires, à la suite de quoi :

1 - Vous dirai pourquoi je vous ai mis(e) dans ma liste de liens (ou pas mis)
2 - Vous associerai à un film ou une chanson
3 - Vous dirai un fait quelconque sur vous
4 - Donnerai mon premier souvenir de vous
5 - Vous associerai à un personnage ou un couple
6 - Demanderai quelque chose sur vous que j’ai toujours voulu savoir
7 - En retour, vous devez poster ceci sur votre blog (enfin, si vous voulez.)

(tout ça parce que j’ai envie d’évoquer cette délicieuse époque où Sharky et moi nous pourissions à propos d’Amélie Poulain)

Au fait, j’ai deux-trois articles retardataires de “Quand le chat n’est pas là “, je vais m’en occuper, promis :)

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04 2007

Maurice (3) - Pamplemousse

Jeudi, nous avons bussé jusqu’au jardin botanique de Pamplemousse. Il faut savoir que Maman Marmotte a visité l’île Maurice il y a quelques trente ans, et qu’elle en a ramené un disque de séga dont la pochette représentait les fameux nénuphars géants. Je n’ai jamais aimé le séga, mais la photo m’avait marquée, et il était absolument inconcevable de quitter Maurice sans avoir vu ces merveilles par moi-même.

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23

04 2007

Le train

A quelques heures du premier tour, je ne peux résister à l’envie de ressortir cette petite chose qui me fait tant plaisir. J’ai écrit ceci en 1988, pendant les présidentielles…

(ça m’amuse tant que vous me pardonnerez, hein !?!)

:grin:

***

Les gens du train, en regardant par les fenêtres, en faisant du bruit, m’ont énervée. Ils tapotaient leurs cuisses, ils croquaient des saucisses, vraiment ils m’ont agacée.
Ils criaient, parlaient et chantaient à voix haute.
Ils s’amusaient, se bagarraient, se disputaient à propos de la politique et des élections.
L’un disait : “Je veux que vous votiez tous pour Chirac, il est parfait !”.
Un autre piaillait : “Non ! Le Pen est mieux !”
Le troisième criait : “Lajoinie au premier tour ! Vous n’avez pas vu l’affiche ! C’est lui le meilleur !”
Le quatrième répondit, furieux : “Mitterrand est le président ! ça veut dire que tout le monde l’aime !”
Le cinquième hurla plus fort qu’un lion en fureur : “Barre ! Barre ! J’espère que Barre aura 90% des voix !”
Un moment après, le contrôleur arriva. “Que se passe-t-il ?”, m’a-t-il demandé. “Je ne sais pas ! Depuis que je suis montée dans le train, il y a cette pagaille.”
“La pagaille ! La pagaille ! C’est plus qu’une pagaille !” me dis-je dans ma petite tête !
Et tout d’un coup, je me suis mise à crier : “Attendez donc les résultats des élections !”, ce qui fit taire tout le monde.

20

04 2007

Maurice - Dis camion ?

Maurice (2)

Notre première journée, consacrée à faire trempette dans notre mairvailleux lagon artificiel, se termina très vite : à Maurice, le soleil se couche vers 18h30, et le voyageur perturbé par une nuit d’avion (et la vision obsédante des charmantes hôtesses de l’air, prolongée miraculeusement par un phénomène de persistance rétinienne dû au décalage horaire) n’a plus qu’à engloutir une langouste grillée sur la plage avant de se glisser voluptueusement dans des draps égayés de fleurs tropicales fraîches.

Le lendemain, nous avons loué d’inconfortables VTT à la réception de l’hôtel pour explorer un peu les environs. Nous avons découvert que nous étions à quelques coups de pédale des deux plus belles plages de l’île, que les Mauriciens sont incroyablement confiants au volant et que les camions de glace font de la musique.

Mercredi, nous décidâmes de découvrir la capitale par nous-même. Après plus d’une heure de trajet dans un bus préhistorique, nous fûmes lâchés dans Port Louis à la merci de centaines de commerçants particulièrement persuasifs. Après nous être fait arnaquer jusqu’à l’os, nous avons rencontré une habitante qui est restée discuter avec nous pendant près de deux heures et nous a montré le quartier chinois.

Au retour, un vieux monsieur charmant nous a fait la conversation dans le bus. Les Mauriciens, quand ils ne veulent rien vous vendre, viennent vous parler de tout un tas de chose bien plus passionnantes que les banalités que l’on échange au café avec ses collègues français.

La peinture écaillée, les contrôleurs souriants, les amortisseurs discrets et les passagers volubiles ; nous étions conquis : le bus serait notre unique moyen de locomotion pendant toute la semaine.

(à suivre)

20

04 2007

Maurice - Océan

Maurice (1)

Pour mon tout premier vol de nuit avec passage de l’Equateur en prime, je n’ai pratiquement pas fermé l’oeil. Plutôt déçue de ne rien voir du sol africain, pliée en quatre dans mon fauteuil dans la crainte permanente de m’effondrer sur mon voisin de droite - un inconnu assez épais - je me suis employée à tenter de suivre “La Môme” malgré les bruits conjugués de la climatisation et des réacteurs. Par bonheur, comme la vie est bien faite, les sous-titres en anglais m’ont permis de comprendre l’intrigue, même si je suis complètement passée à côté de la bande originale. Cependant, pour adoucir ce voyage carrément inconfortable, Corsair nous avait réservé des hôtesses franchement ravissantes.

Une fois nous autres débarqués à l’aéroport de Plaisance et les formalités douanières évacuées avec succès (le visa de l’île Maurice est complètement sexy, avec un dodo !), on nous a collé un collier de fleurs fraîches autour du cou, comme dans les films, et un gros monsieur nous rassura immédiatement : notre seul travail, cette semaine là , serait de devenir comme lui, dit-il en désignant sa peau chocolat. L’ampleur de la tâche était si herculéenne que j’ai bien failli remonter direct dans l’avion - j’aime pas les défis.

Après avoir brinquebalé pendant plus d’une heure dans un bus avec d’autres nantis et avoir transité par plusieurs hôtels scandaleusement luxueux, nous sommes arrivés à destination, où l’on nous a confisqué nos chaussures, lavé les pieds et lâchés sur une plage parsemée de cocotiers et agrémentée d’un lagon articiel du meilleur effet. Il était 15h, heure locale, et nous étions enfin en vacances…

(à suivre)

19

04 2007

Shazam ! (bis)

Le chat est là , tout le monde roupille

Hier, je m’apprêtais à répondre à Me et Sharky qu’il serait bien qu’ils couchent ensemble une bonne fois pour toute, ou bien qu’ils arrêtent leur trip 2 en 1 genre “Fight Club”, quand le dslam a décidé que l’adsl, c’était pour les cons, et s’est mis en grève pour la journée.

Je n’ai donc pas pu vous faire baver avec mes photos de l’océan turquoise baignant les plages de sable blanc et ces saloperies de dauphins. De plus, je mange au boulot à midi, parce qu’on a reçu un nouveau prospectus pour un service de livraison de burgers et qu’il faut par conséquent absolument le tester.

Tout ça pour vous faire voir comme ce blog est infiniment mieux animé en mon absence :razz:

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19

04 2007

Le chat… met sa culotte !

Bonjour bonjour les souris et les autres ! On a atterri ce matin à 6h35 à Orly Sud, mais je commence à peine à arriver dans ma tête :cool:

Cependant, on me connaît : sitôt arrivée, je me suis jetée sur mon blog, et même si mes yeux tombaient constamment de mes orbites tellement j’avais sommeil, j’ai déjà presque tout lu! Je suis contenteeeeeeeeeee, merci à tous, vous êtes fooooooooooormidables :mad: et merci à mon administrateur intérimaire, tu es une fée rose avec des plumes bleues fort comme Spiderman, intelligent comme Stephen Hawking, et toutes sortes de ces choses :*

Je finis de rattraper mon décalage spacio-temporel (surtout spatial, en fait), je me prépare plus ou moins à reprendre le boulot demain et promis, je commente vos (stupéfiantes) notes et je vous gave avec le rapport détaillé de nos vacances à Maurice (parce que c’était pas la Réunion, c’était l’île Maurice, d’abord)…

17

04 2007
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