Posts Tagged ‘île Maurice’
Figurine
J’ai enfin terminé 1984… J’ai du le lire en plusieurs fois tellement ce bouquin me mettait mal à l’aise
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05 2007
9:00 AM
Un petit post “à la Sharky” pour fêter le week-end : Girls in Hawaii dans le jardin de Pamplemousse…
(Dur dur le mois de mai pour la blogosphère : mon agrégateur s’ennuie d’une force…)
11
05 2007
Maurice - C’est écrit
07
05 2007
Maurice - Etals et échoppes
02
05 2007
Maurice (4) - L’île aux Bénitiers
Voilà avec un petit retard la suite de nos aventures mauriciennes…
***
Vendredi, il a fallu se lever tôt pour aller à Rivière Noire et embarquer sur un catamaran vers l’île aux Bénitiers. Après un petit passage par les dauphins - où nous avons constaté que “nager avec les dauphins” consiste surtout à “nager avec 5 catamarans et 12 bateaux à moteurs” - nous avons stationné près de la barrière de corail où Doudou a plongé avec masque et tuba pour voir les bô poissons. Je suis restée au sec sur le pont, toute phobique de l’eau que je suis (et phobique du tuba de location tout mâchonné par les clients précédents).
Un petit pipi dans les toilettes du bateau a été l’occasion de sensations fortes à la Trainspotting (erk).
Après un barbecue à la cool passé à discuter avec un français installé à Maurice qui m’a révélé bien des choses (Chirac a une villa de rêve à Tamarin ; Carlos a voulu acheter l’île aux Bénitiers pour monter un hotel de luxe, mais il s’est fait jeter, par bonheur !), et un petit concert accoustique réunissant Joe Dassin et Simon & Garfunkel, nous avons été débarqués sur l’île. Le soleil tapait sans pitié sur nos peaux blâfardes, l’eau était turquoise et chaude comme celle du petit bassin de la piscine de Laudun , tropique au compteur, la belle vie …
De retour sur le bâteau, j’ai commencé à apprivoiser ma peur de l’eau en nageant sans avoir pied à proximité de l’échelle. (Que personne ne se moque ! J’ai vraiment très très peur de la flotte )
Sur le chemin du retour, nous avons bronzé sur le pont pendant que notre équipage se mesurait en chantant et en chaloupant du cul avec ceux des autres catas qui convergeaient vers le port. Le soleil devenant supportable, le vent doux, la musique : on était drôlement bien, et il restait encore trois jours de vacances…
02
05 2007
Maurice (3) - Pamplemousse
Jeudi, nous avons bussé jusqu’au jardin botanique de Pamplemousse. Il faut savoir que Maman Marmotte a visité l’île Maurice il y a quelques trente ans, et qu’elle en a ramené un disque de séga dont la pochette représentait les fameux nénuphars géants. Je n’ai jamais aimé le séga, mais la photo m’avait marquée, et il était absolument inconcevable de quitter Maurice sans avoir vu ces merveilles par moi-même.
23
04 2007
Maurice - Dis camion ?
20
04 2007
Maurice (2)
Notre première journée, consacrée à faire trempette dans notre mairvailleux lagon artificiel, se termina très vite : à Maurice, le soleil se couche vers 18h30, et le voyageur perturbé par une nuit d’avion (et la vision obsédante des charmantes hôtesses de l’air, prolongée miraculeusement par un phénomène de persistance rétinienne dû au décalage horaire) n’a plus qu’à engloutir une langouste grillée sur la plage avant de se glisser voluptueusement dans des draps égayés de fleurs tropicales fraîches.
Le lendemain, nous avons loué d’inconfortables VTT à la réception de l’hôtel pour explorer un peu les environs. Nous avons découvert que nous étions à quelques coups de pédale des deux plus belles plages de l’île, que les Mauriciens sont incroyablement confiants au volant et que les camions de glace font de la musique.
Mercredi, nous décidâmes de découvrir la capitale par nous-même. Après plus d’une heure de trajet dans un bus préhistorique, nous fûmes lâchés dans Port Louis à la merci de centaines de commerçants particulièrement persuasifs. Après nous être fait arnaquer jusqu’à l’os, nous avons rencontré une habitante qui est restée discuter avec nous pendant près de deux heures et nous a montré le quartier chinois.
Au retour, un vieux monsieur charmant nous a fait la conversation dans le bus. Les Mauriciens, quand ils ne veulent rien vous vendre, viennent vous parler de tout un tas de chose bien plus passionnantes que les banalités que l’on échange au café avec ses collègues français.
La peinture écaillée, les contrôleurs souriants, les amortisseurs discrets et les passagers volubiles ; nous étions conquis : le bus serait notre unique moyen de locomotion pendant toute la semaine.
(à suivre)