A poings fermés
Aujourd’hui, j’ai lutté contre le sommeil en permanence. C’est que le lundi soir, y’a bad, alors je rentre tard, donc on mange tard, et ensuite je n’ai plus forcément sommeil. Donc le mardi matin, c’est dur dur.
Ma prof de compta m’a mise sur Ciel pour m’occuper d’ici la fin de la semaine, vu que j’ai abattu les cahiers de cours comme une bourrine. Elle veut que je fasse un BTS. J’ai d’autres projets!
Après avoir saisi des opérations toutes la journée (et après avoir du recommencer parce que j’avais créé la société en francs sans faire exprès), je me suis rentrée toute étourdie et je me suis vite glissée dans mon lit pour une petite sieste. Doudou n’était pas rentré: sa classe est dans la dernière ligne droite pour le projet d’année.
Je me suis endormie avec “les 2 minutes du peuple” sur les oreilles (distraction indispensable, en ce moment, pour que mon cerveau consente à oublier un peu les soucis de déménagement et de future affectation de Doudou, à se détendre et à sombrer dans le sommeil) (je sais, ça fait un peu peur, quand même).
Au milieu de mes vappes, j’ai vaguement entendu la porte d’entrée s’ouvrir, puis un peu plus tard - et encore plus vaguement, se refermer, et une demi-heure après, je me suis réveillée avec un mouton sur mon oreiller (c’est Couz qui m’a offert un bloc de petits papiers en forme de moutons blanc et noir), et un petit mot gentil sur le mouton.
En fait, le projet, c’est pas vraiment fini fini, alors Doudou était reparti pour bosser dessus.
Je devais vraiment pioncer ferme. J’adore me réveiller et constater que j’ai vachement dormi. Je mérite mon surnom.