Archive for octobre, 2006

This pain of mine (Viso No Porto 5)

So tear me open, pour me out
The things inside that scream and shout
And the pain still hates me, so hold me until it sleeps…

12

10 2006

Oui, c’est fasciste, c’est ça : fasciste…

Christophe Alévêque trouve idiot d’interdire de fumer dans les lieux publics parce que c’est trop con, à la fin, de se protéger de tout ce qui est nocif et de ne pas “vivre”.

Bien sûr, que MOI je ne puisse pas aller dans un bar ou dans une boîte de nuit parce que la cigarette me bouffe ce qui me reste de poumons, et qu’il n’y a pas de bars, et qu’il n’y a pas de boîtes de nuit non fumeurs, ça c’est pas important.

Que les gens fragiles restent chez eux pour ne pas emmerder le monde, et que les autres se fassent crever avec cette merde - et qu’ils me donnent des nouvelles quand ils profiteront du tiers de leur capacité respiratoire ; je vous assure que c’est un plaisir incomparable : c’est comme être en haut du Mont Blanc, sans payer la nuit au refuge, tu parles d’une expérience, si ça, c’est pas vivre!

(Ducon, va…)

Hier je suis rentrée en vélo du cours de portugais, avec toute la côte pour grimper sur la colline de Chartres. C’était un vrai privilège d’avoir assez de souffle pour le faire et j’en ai profité à fond les ballons. Vivre, comme ils disent, c’est entre autre pouvoir bouger son (adorable petit) corps comme on en a envie héhé
:]

Ce quart-d’heure d’agressivité vous était offert par On a tout essayé.
(Oui, Sharky : je sais que tu fumes :] )

11

10 2006

Huhuhu

Pour aujourd’hui, vous me plancherez sur une contrepèterie pas facile - et d’actualité :

“Ce cas de Corée me turlupine”

:]

10

10 2006

O cào (Viso no Porto 4)

05

10 2006

Nananana for ever !

Sur Radio Marmotte, de quoi combler à la fois les ardeurs anglophiles de
^ ^ et mon propre penchant pour les reprises qui n’ont rien à voir :]

Enjoy !

(entendu à la Star Ac la semaine dernière : ” Je connaissais pas du tout les Beatles, j’veux dire, je savais que c’était un groupe, mais je connaissais pas du tout leurs chansons” (j’ai pas de smiley qui se suicide) … Avoir 16 ans n’est pas une excuse, bien sûr : ils étaient séparés depuis 11 ans quand je suis née :] )

05

10 2006

Comment j’ai perdu ma langue

Je suis peu locace en ce moment, parce que j’en bave un peu et que j’ai besoin de toute mon énergie pour garder le cap. Des conditions difficiles exigent un peu d’égoïsme pour se préserver, et je ne peux pas décrire ici l’alternance constante de mes espoirs et désespoirs. D’abord parce que je ne veux pas d’un blog dépressif et que je préfère toujours faire envie que pitié :] . Ensuite parce que des gens que j’aime lisent ce blog et qu’il est inutile de les inquiéter, puisque je ne broie jamais du noir très longtemps ; je me sens déjà bien trop égoïste d’envahir toujours nos conversations avec mes radoteries stériles. Finalement, parce qu’ils me sont déjà d’un grand soutien : certains juste par le fait d’être là dans ma vie, sans rien faire de spécial ; d’autres grâce à la complicité naturelle qui existe entre eux et moi, par laquelle je me découvre des semblables sur la Terre ; et Doudou, qui est l’air que je respire et l’eau que je bois… En résumé, je ne suis pas à plaindre, et je vais finir par arriver à bon port. D’ici là, j’assume le fait que ma créativité soit proche de la négative… Mais comme il est plus que jamais d’actualité, je me permets une petite rediff avec ce poème composé cet hiver pour Coïtus Impromtus sur le thème “La lune dans le caniveau”. Et je vais continuer à poster des photos de nourriture anglaise, puisqu’il y en ai qui ont l’air d’aimer ça :p

Quand mon coeur est dans la lune
La lune dans le caniveau
Le mauvais sort à la une
Et l’espoir à Ground Zero

Quand la tristesse importune
S’invite autour des berceaux
Quand le fil de la rancune
Tricote son écheveau

Quand on fait pleurer la brune
Pour la blonde au bel appeau
Et quand du haut des hunes
Certains font le grand saut

Tu es mon phare ma dune
Mon port ma joie mon brasero
Mon été mon chant ma prune
Je t’aime in extenso

PS : vous ne trouvez pas que malgré les douleurs de la condition humaine, le pire reste encore d’aspirer par un trou de nez un moucheron qui passe ? non? ha bon…

03

10 2006
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