Les paris sont ouverts !
“Dès les premiers indices, Marie-Antoinette veut vite envoyer un courrier à sa mère, mais le médecin de la cour, bien que prêt à parier mille louis que la reine a raison, le lui déconseille tout d’abord. Le 5 mai, le circonspect Mercy annonce le fait comme certain : le 31 juillet à dix heures et demie du soir la reine sent les premiers mouvements de l’enfant, et le 4 août on annonce officiellement sa grossesse à la cour. “Depuis, écrit-elle à Marie-Thérèse, il remue fréquemment, ce qui me cause une grande joie.” Elle prend plaisir, dans sa bonne humeur, à apprendre sa paternité à l’époux sous une forme plaisante et originale ; elle s’avance vers lui, avec une mine sombre, et jouant l’offensée : “Je viens, Sire, me plaindre d’un de vos sujets assez audacieux pour me donner des coups de pieds dans le ventre.” Le brave roi ne comprend pas tout de suite, puis il éclate de rire et embrasse sa femme avec une fierté débonnaire, tout étonné de son habileté inattendue.”
Stefan Zweig, Marie-Antoinette
clap clap clap clap doudou et tata maggie
Euh … trois mois déjà à filer des coups de pied ?!!
Il sera footballeur, comme sa mère
Oui, “Il” , parce que les filles, ça va bien 5 minutes hin hin hin
Nan, ben non, je le sens toujours pas , pourtant il bouge bien le petit gredin (voilà un mot ringuard !)
ben mince alors ! tu sens les gargouillements de quand t’a faim, des trucs que t’a pas digerés et pas encore le petite gredin?
Je t’embrasse - euh, je vous embrasse !
Marceeeel quand même, un footballeur dans le bidou!
Un rugbyman, oui!
-> Chondre, tu as raison, le foot c’est pour les tapiolles, va pour un champion de rugbyman
En tout cas, une chose est sûre : y’en a qu’un seul dans le vestiaire
ouaiiiiiiiiiiiiiiiiis! ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis! j’ai dû lire le premier commentaire pour comprendre, mais j’suis contente
-> Araignée : et on dit merci qui ? Hein ? Dis ?